Convenances et Rêve
Hier
Sensation mitigée suite à cette soirée. Le plaisir d'avoir été avec toi, d'avoir découvert un "spectacle" inhabituel... et l'impression de ne pas avoir été assez avec toi, d'avoir plutot été à coté de toi qu'avec toi (pourtant que "d'avec toi" dans cette phrase...:-)
Je sais que tu n'aimes pas les cases, mais cette soirée avait un gout "femmes/maris" plus que "aimants/amants". Ne pas pouvoir s'embrasser, à peine se toucher, respecter les convenances... bref, tout ce que je ne veux pas lorsque nous sommes ensemble (ou dans une juste mesure)... et même si ce n'est pas entierement vrai, c'est un peu la sensation qui me reste, d'autant plus que nous avons dû nous quitter vite, tres vite, et qu'il me reste un gout d'inachevé, l'impression d'avoir laissé se perdre ce tranchant de lune, cette tour scintillante, cette douce nuit... en ne les ayant pas ponctués de nos baisers devorants.
Et en même temps, en ecrivant ces mots, je me rend compte que j'ai adoré cette soirée, justement parce que nous n'étions pas seulement maitresse/amant mais un peu plus... parce que nous sommes devenus un peu plus... ce couple fantome que j'avais lu et qui nous ressemble...
Contrast de sentiments... comme toujours au lendemain de tes baisers... le temps que les Envies et les Idées se calment et que la Raison les ramenent dans leur prison dorée...
Reve
toi et moi, dans une piece vide, face à une fenetre au milieu d'un mur blanc, avec une autre fille et un autre mec, tous les 4 nus, en train de tourner un film porno mais il n'y a pas de camera (?!).
Je suis allongé sur le dos, l'autre fille est allongée sur le ventre, entre mes cuisses, sa tete proche de mon sexe mais ne le touchant pas.
L'autre mec la baise en etant assis derriere elle.
Toi, tu es à coté de moi, l'air détaché, les yeux vides, ailleurs...
La fille n'a pas l'air à l'aise, je lui demande si c'est la premiere fois, elle repond oui et se met à reciter des prieres en latin (?!).
Je me dis que ça va bientot être à mon tour de la prendre, sans grande envie, et je me souviens une de tes phraseque dans laquelle tu me disais que tu n'aimerais pas me voir baiser une autre fille. Je décide, sans le dire, que je ne le ferais pas, d'autant plus que je me rend compte que ce n'est pas d'elle dont j'ai envie mais uniquement de toi.
Nouvelle image: tu te retrouves allongée à plat ventre sur la fille (vous etes donc toutes les 2 "empilées" entre mes cuisses, moi toujours allongés sur le dos, et l'autre mec toujours en train de s'activer dans l'autre fille... pas exitant tout ça). Tu as toujours cet air detaché, lointaine, comme si tout cela ne te concernait pas. Je ne quitte pas tes yeux, comme souvent lorsque nous nous rencontrons et ce vide que j'y vois ne me plais pas.
D'un coup, j'y vois apparaitre une peur, et je vois en mm temps le mec quitter l'autre fille pour remonter vers toi, dans un but evident.
Je me leve d'un bon et l'empeche de te penetrer en plaçant ma main entre tes cuisses.
Je te prend par la main en te disant "viens, partons"... et je te vois me sourire, tes yeux ayant retrouvé cette étincelle de joie que j'aime tant...
Sensation mitigée suite à cette soirée. Le plaisir d'avoir été avec toi, d'avoir découvert un "spectacle" inhabituel... et l'impression de ne pas avoir été assez avec toi, d'avoir plutot été à coté de toi qu'avec toi (pourtant que "d'avec toi" dans cette phrase...:-)
Je sais que tu n'aimes pas les cases, mais cette soirée avait un gout "femmes/maris" plus que "aimants/amants". Ne pas pouvoir s'embrasser, à peine se toucher, respecter les convenances... bref, tout ce que je ne veux pas lorsque nous sommes ensemble (ou dans une juste mesure)... et même si ce n'est pas entierement vrai, c'est un peu la sensation qui me reste, d'autant plus que nous avons dû nous quitter vite, tres vite, et qu'il me reste un gout d'inachevé, l'impression d'avoir laissé se perdre ce tranchant de lune, cette tour scintillante, cette douce nuit... en ne les ayant pas ponctués de nos baisers devorants.
Et en même temps, en ecrivant ces mots, je me rend compte que j'ai adoré cette soirée, justement parce que nous n'étions pas seulement maitresse/amant mais un peu plus... parce que nous sommes devenus un peu plus... ce couple fantome que j'avais lu et qui nous ressemble...
Contrast de sentiments... comme toujours au lendemain de tes baisers... le temps que les Envies et les Idées se calment et que la Raison les ramenent dans leur prison dorée...
Reve
toi et moi, dans une piece vide, face à une fenetre au milieu d'un mur blanc, avec une autre fille et un autre mec, tous les 4 nus, en train de tourner un film porno mais il n'y a pas de camera (?!).
Je suis allongé sur le dos, l'autre fille est allongée sur le ventre, entre mes cuisses, sa tete proche de mon sexe mais ne le touchant pas.
L'autre mec la baise en etant assis derriere elle.
Toi, tu es à coté de moi, l'air détaché, les yeux vides, ailleurs...
La fille n'a pas l'air à l'aise, je lui demande si c'est la premiere fois, elle repond oui et se met à reciter des prieres en latin (?!).
Je me dis que ça va bientot être à mon tour de la prendre, sans grande envie, et je me souviens une de tes phraseque dans laquelle tu me disais que tu n'aimerais pas me voir baiser une autre fille. Je décide, sans le dire, que je ne le ferais pas, d'autant plus que je me rend compte que ce n'est pas d'elle dont j'ai envie mais uniquement de toi.
Nouvelle image: tu te retrouves allongée à plat ventre sur la fille (vous etes donc toutes les 2 "empilées" entre mes cuisses, moi toujours allongés sur le dos, et l'autre mec toujours en train de s'activer dans l'autre fille... pas exitant tout ça). Tu as toujours cet air detaché, lointaine, comme si tout cela ne te concernait pas. Je ne quitte pas tes yeux, comme souvent lorsque nous nous rencontrons et ce vide que j'y vois ne me plais pas.
D'un coup, j'y vois apparaitre une peur, et je vois en mm temps le mec quitter l'autre fille pour remonter vers toi, dans un but evident.
Je me leve d'un bon et l'empeche de te penetrer en plaçant ma main entre tes cuisses.
Je te prend par la main en te disant "viens, partons"... et je te vois me sourire, tes yeux ayant retrouvé cette étincelle de joie que j'aime tant...