Comme tu es loin… !

Publié le par P.

J’aime l’idée que je puisse toujours t’empêcher de trouver le sommeil, même si cela doit être rare… Rare donc cher !

Comme tu vois, ce blog existe encore vaille que vaille ! J’en suis particulièrement heureuse aujourd’hui en te lisant !

Moi aussi, mon esprit dérape parfois vers toi… Moi aussi je voudrais pouvoir avoir le cran de te proposer encore d’être indécent… Mais comme toi, j’ai peur de te décevoir ou d’être déçu. Alors dans le doute (et aussi probablement par lâcheté), je reste à ma place… Je ne savais pas si j’avais raison de rester sage, mais de te lire me conforte que j’ai bien fait de ne pas te « déranger ». Tu as l’air d’aller bien, même si apparemment l’homme que j’ai connu a « disparu ».

 

L’été m’a emmené vers toi, naturellement… C‘est vrai que nous avons beaucoup de jolis souvenirs sous le soleil !

 

Tu ne te reconnais pas quand tu repenses à tout ce que nous avons vécu ? Désolée, mais c’était bel et bien toi ! Tout toi ! Tout ce que tu n’osais pas imaginer et que tu as vécu à 100%. C’était toi ce bel amant talentueux et attentionné, menteur et déculpabilisé :-)… Tu n’as pas rêvé !

Ok, aujourd’hui tu réalises que tu as un peu pété les plombs et tu n’imagines plus pouvoir revivre un truc pareil… et j’adore qu’il en soit ainsi, cela prouve à quel point tu as été loin dans tes retranchements ! Je suis fière d’avoir été à l’origine de ce pétage de plombs !!

Je te rassure, tu restes un bon amant… pour toujours. Tu es juste en train de récupérer encore après ce marathon amoureux qui t’a un peu essoufflé ;-). Certes, c’est une longue récupération, mais bon, je sais que tu es d’une patience d’ange… Le diable réapparaîtra un jour à l’improviste !

 

J’ai adoré te lire et te relire Monsieur Je-ne-suis-pas-encore-mort… Tu me fait encore du bien sans le faire exprès !

Et là, maintenant, tout de suite... je m'enverrais bien en l'air, avec un homme qui s'enverrait bien en l'air !

 

­­

Publié dans webjournal

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article